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Est-ce que le yoga est un sport?
Malgré ces points communs, le yoga n’est pas un sport dès lors que l’on aborde la question du jeu ou de la compétition. Le yoga est une discipline personnelle qui nous ouvre au monde. D’ailleurs, plus on avance dans le yoga, plus on découvre que c’est une pratique davantage énergétique que physique.
Pourquoi le yoga n’est pas un sport?
Le yoga n’est donc pas une pratique purement physique ; le yoga touche également le mental, avec une pratique orientée vers l’union du corps et de l’esprit, c’est là est la différence avec la plupart des pratiques sportives. En revanche, il faut savoir que le yoga est tout à fait complémentaire à une pratique sportive.
Est-ce que la pratique du yoga est une expression de l’hérésie condamnée?
Puisque, comme nous l’avons vu ci-dessus, la pratique du yoga est fondée sur l’idée d’union avec le divin en soi-même et dans toute la création, la pratique du yoga est donc une expression de la croyance dans l’hérésie condamnée qu’est le panthéisme : que Dieu et Sa création sont une seule chose.
Est-ce que la pratique du yoga est endémique?
La pratique du yoga est également endémique dans les ordres religieux Novus Ordo. Puisque la pratique viciée du yoga se propage, non seulement dans les ordres religieux Novus Ordo, mais aussi dans les institutions laïques, comme le YMCA, nous estimons qu’il est important de traiter brièvement de ce qui ne va pas avec cette pratique.
Que signifie le mot yoga?
Le mot yoga signifie “union”, le but du yoga est d’unir son soi transitoire (temporaire), “JÎVA”, avec l’infini “BRAHMAN”, le concept hindou de Dieu. Ce Dieu n’est pas un Dieu intime, mais plutôt une substance spirituelle abstraite qui ne fait qu’un avec la nature et le cosmos.
Pourquoi le yoga est-il une discipline spirituelle?
Le yoga n’est pas seulement un système élaboré d’exercices physiques, c’est une discipline spirituelle, prétendant conduire l’âme au samadhi, à l’union totale avec l’être divin. Le samadhi est l’état dans lequel le naturel et le divin ne font plus qu’un, où l’homme et Dieu s’unissent sans aucune différence.