Quelle est la loi de 1882?
Obligation scolaire pour les enfants de six à treize ans En faisant ensuite adopter la « loi du 28 mars 1882 sur l’enseignement primaire obligatoire », Jules Ferry a pour but de rendre l’instruction obligatoire, bien sûr, mais aussi laïque.
Quel est l’objectif politique de la loi Camille Sée?
La loi Camille Sée ouvre l’enseignement secondaire aux jeunes filles. La loi du 21 décembre 1880 sur l’enseignement secondaire des jeunes filles fait partie des lois scolaires alors initiées par Jules Ferry, père de l’école primaire laïque, gratuite et obligatoire.
Comment doit être l’école d’après les lois Ferry?
L’instruction religieuse doit, selon la loi du 28 mars 1882, être donnée, si les parents le souhaitent, » en dehors des édifices scolaires « . Les écoles sont fermées à cet effet un jour par semaine – le jeudi, » outre le dimanche « .
Quel est le texte original de la loi du 28 mars 1882?
Texte intégral original de la Loi du 28 mars 1882 qui rend l’instruction primaire obligatoire. Débats sur la loi du 28 mars 1882, site de l’Assemblée nationale. Lettre aux Instituteurs, Jules Ferry, 17 novembre 1883, en ligne et commentée sur le site BibNu.
Pourquoi la loi sur la séparation des églises et l’État?
La loi sur la séparation des Églises et de l’État en 1905, qui a marqué l’aboutissement d’une laïcisation affirmée, nationalise une deuxième fois les biens de l’Eglise, interdit à l’Etat de subventionner tout culte.
Quelle est la loi du 21 mars 1884 relative à la création de syndicats?
Loi du 21 mars 1884 relative à la création de syndicats professionnels, dite loi Waldeck-Rousseau 9. Loi 5 avril 1884 relative à l’organisation municipale 10. Loi « Naquet » du 27 juillet 1884 11. Loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association
Quel est l’objectif de la loi sur l’enseignement obligatoire?
La loi sur l’enseignement primaire obligatoire vise deux objectifs : rendre l’instruction obligatoire, bien s r, mais aussi la que. En ce qui concerne l’obligation, le texte ne fait que consacrer une s rie d’efforts qui ont d j largement port leurs fruits, m me s’il reste encore, en 1878, environ 600 000 enfants non scolaris s.