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Comment représenter la violence au théâtre?
Le metteur en scène est frappé par le côté « très sacrificiel » du théâtre actuel, « où le corps des comédiens est souvent utilisé pour marquer directement cette violence ». D’où son appel à « réinventer un système de rituels » pour dire la violence.
Quel intérêt y A-t-il à assisté à un spectacle?
En effet, aller au théâtre demande au consommateur/spectateur un investissement personnel : une grande consommation de temps – le temps de transport et le temps de la pièce – et de l’énergie mentale – rester attentif et à l’écoute.
Quel est le but de Marivaux dans Les Fausses confidences?
L’enjeu de la pièce est de faire émerger la vérité. Cette vérité affleure parfois, par exemple lorsque Araminte avoue son trouble dans des apartés (I,15). Mais elle est vite refoulée. C’est le procédé de la fausse confidence qui va obliger chacun à se démasquer et à se comporter en accord avec ses sentiments.
Pourquoi c’est mieux de regarder une pièce de théâtre que de la lire?
jeu des acteurs : permet au public de mieux ressentir les émotions des personnages et lui permet de mieux comprendre, le captive. 3. après la lecture de l’oeuvre, la vision d’une pièce jouée peut enrichir la perception du public et permettre….
Quel est le but de Dubois Les fausses confidences?
C’est bien sûr Dubois qui sait tirer le meilleur parti de l’immense pouvoir de séduction du langage. Lors de ses « fausses confidences » à Araminte, il sait mettre en scène ses révélations, employer la curiosité, la jalousie et l’amour-propre de son interlocutrice pour parvenir à ses fins.
Quel est le rôle de Dubois dans Les Fausses confidences?
Dubois est un ancien valet de Dorante, congédié lors de la ruine du jeune homme, au service de la riche Araminte. Il est le chef d’orchestre du stratagème : il prend ainsi sa revanche sociale. Marton est la servante d’Araminte.
Comment représenter l’horreur?
L’horreur prend une dimension spectaculaire, dynamique et non figée comme dans la photographie mortuaire. Le cirque représente en cela les horreurs réelles de la vie en société, dont l’effroi est cependant minimisé par le rire.