Table des matières
Comment ne pas rentrer dans un rapport de force avec son enfant?
Cesser fessées et violence éducative (tirage d’oreilles, claques, humiliation… ) : faire le vœu de ne plus jamais en donner et prendre cet engagement devant témoin (par exemple le compagnon ou la compagne) S’engager à ne pas crier sur les enfants (ne crier que quand c’est vital, en cas de danger par exemple.).
Comment sortir d’un conflit parental?
Essayez de garder, autant que possible, une relation cordiale et polie avec l’autre parent. Réglez vos conflits d’adultes entre adultes et évitez de dire du mal de votre ex devant votre enfant. Dites-lui qu’il a le droit de se sentir bien avec chacun de ses parents.
Comment éviter les rapports de force?
Pour lutter contre le rapport de force et éviter le divorce, les partenaires doivent en analyser l’origine. Pour cela, la communication est capitale. Dialoguer de façon honnête avec l’autre permet de désamorcer des situations de conflits. Il faut aussi pouvoir accepter l’autre tel qu’il (ou elle) est.
Quand il y a un conflit entre un parent et son enfant?
Lorsqu’il y a conflit entre un parent et son enfant (en règle générale parce que les besoins de l’un, de l’autre ou des deux ne sont pas respectés), le réflexe de la grande majorité des parents est… la punition. Pour mettre fin au conflit et asseoir notre « autorité », nous envoyons notre enfant dans sa chambre, ou nous le privons de dessert.
Quelle est la force des parents?
La force des parents peut être rassurante et modèle aussi pour chaque difficulté irrationnelle rencontrée à l’extérieur. Elle participe aussi (selon les caractères) au respect du cercle familial , selon des règles fermes et rassurantes qui ne suscite pas la validation des enfants.
Quelle est l’insolence de l’enfant?
En résumé, l’insolence de l’enfant est généralement une réaction qui vient en opposition à un parent ou une personne qui cherche à le soumettre. C’est une réaction en chaîne, un cercle vicieux.
Pourquoi l’enfant a participé à l’élaboration de la décision prise ensemble?
Lorsque l’enfant a participé à l’élaboration de la décision prise ensemble, il est d’autant plus motivé à l’appliquer qu’il se sent engagé, responsable de la mettre en œuvre. Comme cette décision ne lui est pas imposée, il l’accepte plus naturellement. Il n’a pas le sentiment d’avoir « perdu » face à l’adulte.