Table des matières
- 1 Quel est la forme du poème Le dormeur du val?
- 2 Qu’est-ce qu’un trou de verdure?
- 3 Comment est mort le dormeur du val?
- 4 Quelle est l’idée générale du Dormeur du Val?
- 5 Où le soleil de la montagne fière?
- 6 Où le soleil de la montagne fière luit?
- 7 Où chante une rivière?
- 8 Qui mousse de rayons?
- 9 Comment est inspiré le poème de Rimbaud?
- 10 Quel est le contexte historique de ce poème?
Quel est la forme du poème Le dormeur du val?
Le poème se présente sous la forme d’un sonnet, composé de rimes croisées (ABAB) et (CDCD) pour les huit premiers vers, d’une rime plate (EE) aux vers 9-10 et d’une rime embrassée (FGGF) aux vers 11-14.
Qu’est-ce qu’un trou de verdure?
a) Un tableau (organisation de la description) : nombreuses notations visuelles décrivant avec précision le lieu ; comme dans un tableau, il y a un arrière-plan mis en place dans le premier quatrain (un « petit val » -reprise du titre-, décrit aussi comme un « trou de verdure », c’est à dire une vallée étroite qui …
Pourquoi Arthur Rimbaud à ecrit Le Dormeur du Val?
Le Dormeur du val, introduction : « Le dormeur du val » est un poème de Rimbaud issu d’un recueil intitulé Poésie, écrit en 1870. Il fut composé lors d’une fugue du jeune poète, alors âgé de 16 ans, alors que faisait rage la guerre franco-prussienne.
Comment est mort le dormeur du val?
La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot « trou » fait écho avec le vers 14. Il ne respire plus, il est donc mort. Violence des allitérations dentales pour trancher cette jeune vie. Nous comprenons à ce moment que le sommeil du dormeur était une image de mort.
Quelle est l’idée générale du Dormeur du Val?
Le dormeur du val est un extrait du recueil Poésies, rédigé en 1870. Dans ce poème, Rimbaud nous fait parvenir les horreurs de la guerre, ici franco-prussienne, pendant laquelle il compose Le dormeur du val.
Où la lumière pleut?
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Où le soleil de la montagne fière?
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.
Où le soleil de la montagne fière luit?
– Arthur Rimbaud. C’est un trou de verdure où chante une rivière, – Accrochant follement aux herbes des haillons – D’argent; où le soleil, de la montagne fière, – Luit; c’est un petit val qui mousse de rayons. Cette phrase de Arthur Rimbaud contient 37 mots.
Qui a écrit le poème Le dormeur du val?
Le Bateau ivre
Une saison en enferVoyellesLes IlluminationsSoleil et Chair
Arthur Rimbaud/Poèmes
Où chante une rivière?
C’est un trou de verdure où chante une rivière, – Accrochant follement aux herbes des haillons – D’argent; où le soleil, de la montagne fière, – Luit; c’est un petit val qui mousse de rayons. Cette phrase de Arthur Rimbaud contient 37 mots.
Qui mousse de rayons?
“C’est un petit val qui mousse de rayons”, écrivait Arthur Rimbaud au XIXe siècle.
Quel est l’intérêt d’un poème poétique?
Ce poème présente l’intérêt d’une récit poétique au travers de la déscription des transformations de différents objets quotidiens. C’est aussi important la présence des marques d’oralité qui font que le lecteur doive s’interroger sur les possibles interprétations du titre.
Comment est inspiré le poème de Rimbaud?
Ce poème est sans doute inspiré au jeune Rimbaud, 16 ans à l’époque, par la guerre franco-prussienne de 1870, et plus particulièrement par la bataille de Sedan scellant la défaite française le 3 septembre 1870, à moins de 20 kilomètres de Charleville, son lieu de résidence à l’époque.
Quel est le contexte historique de ce poème?
Contexte historique. Ce poème est sans doute inspiré au jeune Rimbaud, 16 ans à l’époque, par la guerre franco-prussienne de 1870, et plus particulièrement par la bataille de Sedan scellant la défaite française le 3 septembre 1870 à moins de 20 kilomètres de Charleville, son lieu de résidence à l’époque.
Quels sont les deux trous rouges dans le poème de Rimbaud?
Ce n’est qu’au dernier vers que Rimbaud évoque explicitement la mort du soldat : les deux trous rouges, marques d’une baïonnette ou d’une arme à feu, font écho au « trou de verdure » du vers 1, faisant donc de celui-ci, rétrospectivement, un tombeau ; on peut donc dire que dès le début du poème, il y a une préparation à cette triste réalité.