Quelle est la place de l’enfant dans l’histoire?
A cette époque, l’enfant n’a pas sa place dans l’histoire, ni dans la politique, la guerre ou au sein d’une structure sociale. Il fait partie du foyer, du domaine privé, c’est l’équivalent d’un objet. Il s’y ajoute un sentiment d’orgueil de l’adulte associé à l’enfant, puisque l’adulte se représente comme agissant pour son bien, se sacrifiant.
Est-ce que l’enfant est considéré comme un petit homme?
Les adultes se retrouvent donc avec la responsabilité de remplir, guider et commander ces petits esprits. Il en est de même pour leur corps. Ainsi, les nourrissons se retrouvent bâillonnés dans du linge pour qu’ils ne bougent pas. Au contraire, au Moyen Age, l’enfant est considéré comme un petit homme.
Pourquoi l’habillement à l’époque coloniale?
L’habillement à l’époque coloniale. La colonisation de l’est du Canada commence au XVII e siècle avec les Français. Au début, ces colons ne peuvent compter que sur les vêtements qu’ils ont apportés. Un habit neuf coûte cher. Pour se vêtir, on ne dispose que de prêt-à-porter fabriqué localement à partir d’étoffes importées ou, parfois,…
Est-ce que la garde-robe est influencée par les autochtones?
Tant sous les régimes français qu’anglais (et même plus tard), certains types de vêtements pour hommes ne tiennent pas compte de la mode et diffèrent de leur équivalent européen. La garde-robe de tous les jours est influencée par les vêtements des Autochtones.
Quel est le message de l’enfant confronté à la mort?
Le message de l’enfant confronté à la mort n’est qu’une forme amplifiée, criée, déchirante, du message de tout enfant à tout adulte. Au-delà de l’horreur et de l’innommable de l’événement traumatique il faut parvenir à préserver, accepter cette vie d’enfance qui reste si présente, si vivace au-delà de la souffrance.
Quelle est la spécificité du deuil chez l’enfant?
Comparé au deuil chez l’adulte, le deuil chez l’enfant a en effet pour spécificité de survenir en période de développement psychique, affectif et physique. Si le deuil est lié au sinistre psychique de la perte ce postulat nécessite qu’il existe chez l’enfant une capacité de reconnaissance suffisante de la réalité.