Réponse Courte

Solutions simples

Quelles sont les deux principales adaptations de la photorespiration?

Quelles sont les deux principales adaptations de la photorespiration?

Le 3-phosphoglycérate formé rejoint le cycle de Calvin tandis que le 2-phosphoglycolate est déphosphorylé en glycolate par la phosphoglycolate phosphatase et sort du chloroplaste pour être recyclé dans un peroxysome.

Comment la RuBisCO Est-elle impliquée dans la Photorespiration?

Dans les conditions normales, la RubisCO fonctionne en carboxylase et en oxygénase. Réaction oxygénase de la Rubisco. Elle repose sur la fonction oxygénase de la Rubisco. Le cycle photorespiratoire consiste dans la régénération d’une molécule d’APG à partir de deux molécules d’acide phosphoglucolique.

Quelle est l’activité de la photorespiration?

Chez les plantes en C3, le rapport de l’activité de la photorespiration (moles d’O 2 consommées) sur l’activité de la photosynthèse (moles d’O 2 dégagées) croît quand la température s’élève. La photorespiration dépend du rapport CO 2 /O2. Elle est supprimée sous forte concentration en CO 2.

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Est-ce que la photorespiration est utile à la croissance des plantes?

Si la photorespiration est clairement préjudiciable à l’activité photosynthétique des cellules végétales, elle serait cependant utile, voire nécessaire à d’autres fonctions cellulaires, et sa limitation ne se traduirait pas forcément par une meilleure croissance des plantes.

Est-ce que la photorespiration peut être utile à la signalisation cellulaire?

Cependant, si la photorespiration est préjudiciable à l’activité photosynthétique des cellules où elle a lieu, elle serait néanmoins utile, voire nécessaire, à d’autres fonctions cellulaires, notamment à la fixation de l’azote des nitrates ainsi que, dans une certaine mesure, à la signalisation cellulaire .

Quelle est l’influence sur la respiration des plantes vertes?

L’influence de la lumière sur la respiration des plantes vertes a longtemps été tenue pour négligeable. Depuis 1955 cependant, un grand nombre de travaux ont montré que, pour la plupart des plantes vertes, le dégagement de gaz carbonique était deux ou trois fois plus intense à la lumière qu’à l’obscurité.

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