Quels médicaments peuvent induire des douleurs neuropathiques?
Plusieurs médicaments utilisés en cardiologie (amiodarone) ou en cancérologie (chimiothérapies à base de vinca-alcaloïdes, de sels de platine ou de taxanes) peuvent, eux aussi, induire des douleurs neuropathiques. Certains sont préférés parce qu’ils présentent une efficacité démontrée.
Quels sont les cas d’affections neuropathiques centrales?
Les cas d’affections pouvant causer des douleurs neuropathiques centrales comprennent les accidents vasculaires cérébraux, les lésions de la moelle épinière et la sclérose en plaques. La douleur neuropathique peut être fixe ou apparaître de façon intermittente, fortuite ou induite.
Quels sont les effets secondaires des médicaments narcotiques?
Ils ont aussi d’autres effets secondaires sur les systèmes nerveux, musculaire, respiratoire et cardiovasculaire. Des médicaments narcotiques sont utilisés pour immobiliser un patient en l’endormant et pour éviter les douleurs provoquées par un acte chirurgical ou un examen endoscopique.
Pourquoi la douleur neuropathique provient de nerfs endommagés?
La douleur neuropathique provient de nerfs endommagés, elle est différente de la douleur transmise le long de nerfs sains à partir de tissus endommagés (par exemple, d’une chute ou d’une coupure, ou du genou arthritique).
Comment se révéler une douleur neuropathique?
Mais une douleur neuropathique peut également se révéler plus diffuse, lorsqu’elle provient d’une atteinte du système nerveux central, et il faut alors se tourner vers d’autres traitements: des antidépresseurs ou des antiépileptiques, même s’il n’y a ni dépression ni épilepsie, pour moduler les voies de la douleur.
Quelle est l’origine des douleurs neuropathiques?
L’origine des douleurs neuropathiques est expliquée par la théorie du portillon (ou « Gate control ») proposé en 1965 par les chercheurs Melzak et Wall. Au niveau de la moelle épinière, on distingue :
Quels sont les médicaments utilisés pour soulager les spasmes musculaires?
Ils sont surtout utilisés pour un soulagement à court terme en cas de douleurs musculaires aiguës, mais aussi pour soulager des spasmes musculaires reliés à un problème neurologique. Les benzodiazépines (Valium®, Xanax®, etc.), le baclofène, le méthocarbamol (Robaxin®) et le cyclobenzaprine (Flexeril®) en sont des exemples.