Pourquoi le royaume de France A-t-il connu des guerres de religion au XVIe siècle?
La reprise des hostilités en 1567 s’explique par trois raisons : l’échec de l’édit d’Amboise qui ne laisse la liberté de culte qu’aux nobles, le contexte international orageux et la rivalité de cour entre le prince de Condé et le jeune frère du roi, Henri duc d’Anjou.
Pourquoi il y Avait-il autant de chefs militaires protestants à Paris en août 1572?
Le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy, le carillon de l’église de Saint-Germain l’Auxerrois, en face du Louvre, donne le signal du massacre des protestants à Paris. Il s’agissait pour l’entourage catholique du roi de se défaire des chefs de la faction protestante, qui donnaient des signes de rébellion.
Quelle est la généalogie de Catherine de Médicis?
Généalogie de Catherine de Médicis Fille de Laurent II de Médicis (1492-1519), duc d’Urbino, et de Madeleine de la Tour d’Auvergne (1495-1519), Catherine de Médicis grandit en Italie, pays d’où vient son père. A la mort de ses parents, elle devient duchesse d’Urbino, puis Comtesse d’Auvergne à la mort de sa tante Anne d’Auvergne en 1524.
Quel rôle ont joué les Médicis durant son enfance?
Les Médicis ont joué un rôle important durant l’enfance de Catherine : elle bénéficie de la protection de son grand-oncle le pape Léon X, puis surtout de celle de Clément VII, un de ses cousins, élu pape en 1523 et qui la loge dans son Palais Medici-Riccardi .
Quelle est la reine de Médicis?
Mère des rois François I I, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth (reine d’Espagne) et Marguerite (dite « la reine Margot »), elle gouverne la France en tant que reine-mère et régente de 1560 à 1563. Catherine de Médicis est une figure emblématique du XVIe siècle.
Comment réconcilier protestants et catholiques?
En 1561, Catherine organise des colloques pour tenter de réconcilier catholiques et protestants, se mettant ainsi le pape à dos. Le 17 janvier 1562, elle promulgue l’Édit de janvier qui autorise la liberté de conscience et de culte pour les protestants, à condition qu’ils restituent les lieux de culte dont ils se sont emparés.