Table des matières
Quelle est la forme externe de l’imagerie motrice?
La forme externe de l’imagerie motrice, dite à la troisième personne, se fonde exclusivement sur des données visuelles. Elle implique une représentation visuelle de l’action ou de l’espace où se déroule l’action.
Comment déterminer le style d’un auteur?
On peut déterminer le style d’un auteur à partir de trois éléments stylistiques de base : les figures de style. Ce sont également des notions que nous pouvons nous-mêmes utiliser pour enrichir nos propres œuvres, ce que nous faisons souvent par intuition, c’est-à-dire sans le savoir consciemment, et ce, parfois à nos dépens malheureusement.
Comment distinguer les nuances entre les auteurs?
Prenez le temps d’observer les exemples, d’expérimenter l’utilisation de quelques éléments qui vous semblent les plus compréhensibles et de noter le style des auteurs que vous lisez. Tranquillement, vous saurez distinguer de mieux en mieux les nuances entre chacun.
Quelle est l’idée de l’imagerie?
En 1976, pour JackNicklaus, champion de golf, on note plutôt l’idée que l’imagerie sert à se concentrer et à envisager la compétition de ma¬ nière positive (Nicklaus, 1976) : Avant chaque frappe, je vais dans la caméra qui se trouve dans ma tête. (…)
Quels sont les pionniers de l’imagerie motrice?
Depuis les travaux de ces pionniers, de nombreuses recherches ont confirmé que l’imagerie motrice appartient à une catégorie de processus qui sont impliqués dans la programmation et la préparation de l’action mais qui n’ont pas pour vocation d’être exécutés (Decety & Ingvar, 1990 ; Jeannerod, 2001, 2003 ; Johnson, 2000 ; Prinz, 1994).
Quelle est la technique d’exploration mentale?
Cette technique a d’abord été utilisée pour étudier les processus d’exploration mentale (Kosslyn, Ball & Reiser, 1978 ; Finke & Pinker, 1982). L’exploration mentale est un processus qui permet au sujet de déplacer son attention sur des objets au sein d’une image mentale.
Est-ce que l’entraînement par simulation mentale est bénéfique?
Chambaron, Berberian, Ginhac, Delbecque et Cleeremans (2010) ont ainsi montré que l’entraînement par simulation mentale était bénéfique pour l’apprentissage de séquences motrices complexes.