Réponse Courte

Solutions simples

Quelle est la valeur energetique de la biomasse?

Quelle est la valeur énergétique de la biomasse?

Une énergie naturelle et propre. La valorisation énergétique de la biomasse peut permettre d’augmenter la part des énergies renouvelables dans un mix énergétique et de réduire la dépendance au pétrole ou au gaz. La diversité des matières organiques constituant la biomasse permet à de nombreux pays d’avoir accès à cette ressource.

Quelle est la zone de présence de la biomasse?

Zone de présence ou d’application. Hors consommation domestique, les principaux pays dans le monde ayant recours à la biomasse sont le Brésil, les États-Unis et l’Inde (4). La biomasse et les déchets constituent 67,6 \% de la production primaire d’énergie renouvelable dans l’Union européenne en 2010 (5).

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Quelle quantité de biomasse faut-il pour produire de l’énergie?

Pour produire de l’énergie, il faut de grandes quantités de biomasse car son PCI n’est globalement pas très élevé (2) : Paille : 14,3 MJ/kg ; Bois (dans la nature) : 10,8 MJ/kg Déchets urbains, bagasse (résidu fibreux de la canne à sucre) : 7,77 MJ/kg.

Quel est le procédé de valorisation de la biomasse?

On distingue trois procédés de valorisation de la biomasse : la voie sèche, la voie humide et la production de biocarburants. La voie sèche. La voie sèche est principalement constituée par la filière thermochimique, qui regroupe les technologies de la combustion, de la gazéification et de la pyrolyse :

Pourquoi la biomasse est renouvelable et durable?

L’énergie issue de la biomasse n’est renouvelable et durable qu’à certaines conditions : pas de surexploitation de la ressource ; pas de mise en péril de la fertilité des milieux qui la produisent (sol, zones humides, océans) ; pas d’impacts excessifs sur la biodiversité ;

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Comment augmenter la quantité de biomasse collectée?

En France, une stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (2018) vise à augmenter la quantité de biomasse collectée, en générant le moins d’effets collatéraux négatifs possibles sur la biodiversité, les paysages et d’autres filières dépendantes de la même ressource.