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Qui a créé le cajón?
Le cajon est apparu en 1535 lorsque les premiers esclaves d’Afrique noir ont été amenés par les conquistadors en Amérique et plus précisément au Pérou. Ils sont donc arrivés du continent africain avec leurs coutumes, leurs chants, leurs traditions.
Comment bien régler son cajón?
Vous pouvez ajuster la tonalité de votre cajón en serrant ou desserrant les vis de la surface de frappe. En règle générale, plus les vis sont desserrées, plus le son sera grave. Les vis d’un nouveau cajón sont souvent vissées aussi serrées que possible. Dans ce cas, dévisser est donc la seule option.
Comment fonctionne cajón?
La plupart des cajons sont équipés de cordes de guitare ou de basse ou d’un système de timbre de caisse claire de batterie situé sous la plaque supérieure, qui vibre lors de la frappe de l’instrument. Les cajons équipés de cordes viennent d’Espagne et sont populaires pour leur réponse claire et sensible.
Comment utilise-t-on le cajón?
Le batteur du groupe Biffy Clyro, Ben Johnston, utilise fréquemment le cajón lors des sessions acoustiques, dans les émissions de radio notamment, afin de ne pas couvrir le son des autres instruments. Le groupe Ibeyi utilise aussi le cajón.
Quelle est la vibration d’un tambour?
La vibration ainsi obtenue est amplifiée par le fût qui fait office de caisse de résonance, parfois modifiée par un timbre en acier ou en boyau naturel ou synthétique. Le tambour existe dans la plupart des cultures. Les premières traces de l’existence de cet instrument remontent à 6 000 ans av. J.-C..
Pourquoi le tambour est utilisé comme moyen de communication?
Le tambour est souvent utilisé comme moyen de communication. La communication par tambours a été développée et utilisée par des cultures précoloniales dans des régions forestières. Les tambours servaient de moyen de communication primitif sur de longues distances et étaient utilisés pour des cérémonies notamment en Afrique,…
Comment se joue le tambour au Sénégal?
La percussion ainsi formée se joue dans des conditions bien précises. Le tambour peut raconter l’histoire des tribus de génération en génération sans support d’écriture. Au Sénégal, on apprend le gonrog, plus petit avec un son plus clair, qui sert à faire des annonces. Puis le sabar, un tambour très haut, très élancé, pour les messages lointains.