Réponse Courte

Solutions simples

Comment est mort Thomas Mann?

Comment est mort Thomas Mann?

Athérosclérose
Thomas Mann/Cause de la mort

Pourquoi Thomas Mann A-t-il voulu quitter la Suisse et continuer son exil aux USA?

Pour raisons politiques, il devait quitter définitivement les États-Unis pour la Suisse, le 24 juin 1952, où il resta jusqu’à sa mort. Il choisit, malgré de nombreux voyages, de ne jamais se réétablir en Allemagne : l’expatriation avait bien été définitive.

Pourquoi lire La Montagne magique?

Évocation ironique d’une vie lascive en altitude, somme philosophique du magicien des mots, ce vertigineux « roman du temps » retrouve tout son éclat dans une nouvelle traduction qui en restitue l’humour et la force expressive. Thomas Mann (1875-1955) a reçu le prix Nobel de littérature en 1929.

LIRE AUSSI:   Quelles sont les usages du petrole?

Quelle est la biographie de Thomas Mann?

Biographie. Thomas Mann (né le 6 juin 1875 à Lübeck, décédé le 12 août 1955 à Zurich) est un écrivain allemand, lauréat du prix Nobel de littérature en 1929. Il est issu d’une famille patricienne de commerçants. Son père siège au Sénat de la ville de Lübeck, et sa mère vient d’une famille de commerçants d’origine germano-brésilienne.

Quel est le père de Thomas Mann?

Il est issu d’une famille patricienne de commerçants. Son père siège au Sénat de la ville de Lübeck, et sa mère vient d’une famille de commerçants d’origine germano-brésilienne. Thomas est le frère cadet de Heinrich Mann.

Quels sont les inspirateurs de Thomas Mann?

Ceux-ci ont été les inspirateurs de Thomas Mann, qui est venu à la littérature sans se rattacher à aucun groupe allemand, sensible plutôt à la lecture de romans scandinaves, russes et, à l’occasion, français, tels ceux des frères Goncourt et plus tard, de Flaubert.

LIRE AUSSI:   Qui dirige le Guatemala?

Quels étaient les fils de Thomas?

Il y avait pourtant dans la génération de Thomas, outre lui, son frère aîné Heinrich, ses sœurs et le cadet, Victor. Mais il ne se trouva ni fils ni gendre pour continuer ; Heinrich avait donné le signal de la « désertion » en se lançant dans le journalisme et les lettres, où il fit une carrière féconde de romancier et de publiciste.