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Comment vous parler de la vie quotidienne en Russie?
Pour vous parler de la différence entre la vie quotidienne [en France] et la vie quotidienne en Russie telle que je l’ai vécue, c’est-à-dire en vivant vraiment comme un Russe, en étant implanté dans la vie quotidienne – puisque j’ai eu la chance de vivre à Moscou pendant six mois et plus d’un an et demi à Saint-Pétersbourg de manière permanente.
Quels sont les points positifs en Russie?
Commençons par les points positifs. J’ai trouvé en Russie que c’est beaucoup plus facile de rencontrer des gens puisqu’il y a une réelle ouverture d’esprit.
Est-ce que les ruses ont envie de rencontrer des étrangers?
J’ai trouvé en Russie que c’est beaucoup plus facile de rencontrer des gens puisqu’il y a une réelle ouverture d’esprit. Les Russes ont envie de rencontrer des étrangers, de les connaître puisqu’il y a cette soif, cet appétit, cette curiosité pour tout ce qui est étranger que j’ai trouvée bien plus présente que chez les Français.
Est-ce que l’on obtient un emploi en Russie?
Mais, encore une fois, si l’on obtient un emploi promettant 1 800 euros par mois en Russie, cela signifiera selon lui un meilleur niveau de vie, comparé à New York ou aux grandes villes européennes. Le coût de la vie est en soi un élément positif important pour de nombreux étrangers.
Pourquoi il a fallu que je paye comme ça en Russie?
En Russie, il a fallu simplement que je paye comme c’est marqué sur le contrat et vous avez le logement. Vous avez beaucoup plus de liberté pour une chose qui est vraiment essentielle.
Quelle est l’espérance de vie en Russie?
Une espérance de vie en baisse. De 1990 à 2000, l’espérance de vie en Russie a diminué de cinq ans pour les hommes et de deux ans pour les femmes et ce recul continue depuis. En 2000, les hommes avaient une espérance de vie de 59 ans contre 72,2 ans pour les femmes (58,8 ans versus 72 ans en 2003).
Quelle est la progression de la mortalité infantile en Russie?
En 2000, les hommes avaient une espérance de vie de 59 ans contre 72,2 ans pour les femmes (58,8 ans versus 72 ans en 2003). Le recul de la mortalité infantile en Russie a été hésitant au cours des quinze dernières années, la période récente se caractérisant par une tendance plus nette à la baisse.