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Quand on utilise ce OÙ SE?
Se est le pronom personnel de la 3e personne que l’on utilise quand il représente le même être ou la même chose que le sujet du verbe. C’est pourquoi on l’appelle pronom réfléchi. Il précède toujours le verbe auquel il se rapporte. Il se lave (il lave lui-même).
Pourquoi er et pas ez?
-Ez est la terminaison d’un verbe conjugué à la 2e personne du pluriel (vous). Vous mangez, vous mangerez. Sortez ! -Er est la terminaison d’un verbe à l’infinitif INFINITIF.
Quel temps utiliser après du fait que?
Prescription : indicatif
| Exemple | verbe de la principale | verbe de la subordonnée |
|---|---|---|
| Je le payai après qu’il eut fini. | passé simple | passé antérieur |
| Je le payais après qu’il avait fini. | imparfait | plus-que-parfait |
| Je le paie après qu’il a fini. | présent | passé composé |
| Je le paierai après qu’il aura fini. | futur simple | futur antérieur |
Quelle est la différence entre ce qui et ce qu’il?
L’OQLF, comme d’autres sources, indique qu’avec ce verbe, on peut aussi bien utiliser «ce qui» que «ce qu’il». La différence résiderait essentiellement dans le goût ou le style de l’auteur. «Ce qui» est plus usuel, plus commun et proche de l’oral, tandis que «ce qu’il» fait plus littéraire.
Comment se demande-t-on ce qui lui a pris?
– On se demande bien ce qu’il lui a pris. (ou : ce qui lui a pris) Avec le verbe plaire, il faut distinguer la tournure personnelle (« Ce tableau me plaît ») de la tournure impersonnelle (« Il me plaît d’aller à la messe tous les dimanches »).
Quelle est la différence entre ce qui est usuel et celui littéraire?
La différence résiderait essentiellement dans le goût ou le style de l’auteur. «Ce qui» est plus usuel, plus commun et proche de l’oral, tandis que «ce qu’il» fait plus littéraire. Attention au sens véritable Toutefois, certaines sources distinguent une nuance de sens entre les deux, qui dépend de ce qu’on veut vraiment dire.
Est-ce que ce qui est plus usuel et proche de l’oral?
«Ce qui» est plus usuel, plus commun et proche de l’oral, tandis que «ce qu’il» fait plus littéraire. Toutefois, certaines sources distinguent une nuance de sens entre les deux, qui dépend de ce qu’on veut vraiment dire.