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Quelles sont les possessions coloniales de la France en Afrique en Asie en 1914?
En 1914, la France est le deuxième pays colonisateur après la Grande-Bretagne. Elle contrôle de nombreux pays d’Afrique et du Maghreb et a fondé l’Afrique-Occidentale française et l’Afrique- Équatoriale française, qui représentent ensemble pas moins de 11 pays.
Quels pays possèdent des colonies?
Jusqu’au XIX e siècle, l’Espagne et le Portugal possèdent les plus grands empires coloniaux. D’autres puissances européennes se lancent ensuite dans les conquêtes : la France et le Royaume-Uni détrônent peu à peu l’Espagne et le Portugal, à la suite de l’indépendance des pays d’Amérique du Sud.
Quelles puissances européennes possèdent des colonies?
Au XVIIIe siècle, les grandes puissances Européennes (France, Angleterre, Provinces Unies, Espagne et Portugal) étendent leur puissance coloniale en Amérique, en Afrique et en Asie.
Quand est-ce que l’Afrique est colonisée?
Entre novembre 1884 et février 1885, un congrès international a lieu en Allemagne : la Conférence de Berlin. Durant cette réunion, les grandes puissances européennes se répartissent les territoires africains. Trente ans plus tard, l’Afrique est presque entièrement colonisée.
Quelle est la rivalité franco-britannique avec l’Afrique?
Au XIXe siècle, l’Afrique est le principal enjeu de la rivalité cloniale franco-britannique. Le contrôle du haut Nil provoque l’incident de Fachoda à l’automne 1898. A cette date, la France s’est lancée dans la « course au Tchad », pour relier le Maghreb aux territoires conquis en Afrique équatoriale et occidentale (Dahomey, Niger, Congo).
Combien de soldats sont coupés en Afrique orientale?
Au cours de la Grande Guerre en Afrique orientale, 3 600 Allemands et 14 500 askaris coupés de toute possibilité de ravitaillement, résistent à 300 000 soldats britanniques, belges]
Quels sont les premiers explorateurs du continent africain?
David Livingstone, un des premiers explorateurs de l’intérieur du continent africain, qui découvrit en 1855 les chutes d’eau de Mosi-oa-Tunya, qu’il renomma chutes Victoria. Il échoua cependant à trouver la source du Nil.