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Où est né la réforme?
Les idées de la foi réformée se répandent dans le Saint-Empire avec notamment en 1522 par Ulrich Zwingli, curé à Zurich, et quasi-simultanément par Matthieu Zell et Martin Bucer à Strasbourg, puis, plus tard par Jean Calvin à Paris, Strasbourg et Genève.
Comment les catholiques réagissent face au développement du protestantisme?
La Contre-Réforme (ou, plus rarement, réforme catholique) est le mouvement par lequel l’Église catholique réagit, dans le courant du XVI e siècle, face à la Réforme protestante. Elle répond en partie aux objectifs de l’Église catholique visant à faire reculer et disparaître le protestantisme.
Comment se succèdent les réformes dans l’Eglise chrétienne?
Crise et réformes se succèdent dans l’Eglise chrétienne au 16ème siècle. Formé le plus souvent d’hommes d’Eglise, protégé par les princes, aidé par la naissance de l’imprimerie, un petit groupe de savants se passionne pour la littérature antique, grecque ou latine.
Quels sont les points forts du Mouvement réformateur?
Le mouvement réformateur mit l’accent sur la reconnaissance de l’initiative divine en matière de salut, sur la primauté de la foi, sur la nécessité de la conversion personnelle, sur l’accès direct de tout fidèle à l’Écriture sainte et aux signes de justification, sur les valeurs éthiques de fidélité, de fraternité et de responsabilité.
Quels sont les réformateurs protestants?
En répondant à ces questions, des Réformateurs protestants tels que Martin Luther, Ulrich Zwingli, Jean Calvin, et John Knox ont établi ce qui deviendra les « Cinq Solas » (sola veut dire seul en Latin) de la Réforme.
Quelle est la période de transition de l’église?
À l’époque de la Renaissance, à la suite de quelques écarts des autorités religieuses, le pouvoir de l’Église est remis en question. C’est aussi durant cette période de transition que le christianisme va considérablement se transformer en plus de se diviser.