Table des matières
Quels sont les différents types de son?
Différents types de bruits
- Bruit d’impact : Il s’agit d’un bruit qui provient d’un choc sur une paroi.
- Bruit aérien : On parle de propagation aérienne.
- Bruit solidien : On parle de propagation solidienne.
- Bruit ambiant : On parle ici d’un niveau sonore des bruits environnants.
Comment caractériser un son par rapport à un bruit?
Plus elle est faible, plus le son est grave. Plus elle est élevée, plus le son est aigu. L’oreille humaine ne perçoit que les sons dont la fréquence est comprise entre 20 et 20.000 Hz. En-deça, ce sont les infra-sons, au-delà, les ultra-sons, tous deux inaudibles pour l’homme.
Quelles sont les deux caractéristiques physiques du son?
Le tableau 1-1 dénombre quatre caractéristiques physiques principales intrinsèques à la source sonore : • Le temps (durée du son, début du son). La hauteur (son plus ou moins grave ou aigu). Le timbre (son plus ou moins riche ou pauvre…). L’intensité (son plus ou moins fort).
Quelle distinction existe entre le bruit et le son?
Entre le bruit et le son n’existe qu’une distinction créée par la perception que les publics peuvent en avoir. Nombreux sont ceux depuis plusieurs siècles à s’intéresser au phénomène du bruit.
Pourquoi le bruit est un son indésirable?
Le bruit, un son indésirable? Depuis qu’il existe un son agréable à entendre, le son musical, il existerait un son opposé et désagréable, le bruit. Connoté de manière péjorative, le bruit est vu comme une impureté sonore face aux ondes pures et parfaitement maîtrisées d’un son musical.
Comment fonctionne la percussion dans la musique orchestrale?
Du côté de la musique orchestrale, la percussion devient un élément incontournable du bruit maitrisé dans la musique, par exemple par sa soudaineté ou par un excès de volume : le tonnerre et l’orage dans la Symphonie no.6 « Pastorale » de Ludwig van Beethoven en sont l’exemple parfait (à 31.55 dans la vidéo ci-dessous) :
Pourquoi écouter de la musique forte?
« Quand on est jeune, on a du mal à imaginer qu’on va vieillir, on a besoin de tester ses limites. Écouter de la musique forte, c’est un plaisir, dangereux, mais un plaisir », analyse Alain Londero, ORL à l’hôpital Georges-Pompidou à Paris, qui a participé à une étude Ipsos publiée à l’occasion de la Semaine du son.