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Pourquoi le mur entre Israël et les territoires Palestiniens Est-il une frontière particulière?
La manière de désigner cette barrière renvoie évidemment à la vision qu’on en a : pour la plupart des Israéliens, elle représente le seul moyen pour protéger la population des attaques terroristes ; pour les Palestiniens, ce mur ne sert qu’à les enfermer à l’intérieur d’un espace d’où personne ne peut sortir sans un …
Quelle est la différence entre Israel et Palestine?
Le conflit inclut une forte dimension religieuse, en raison de l’importance des territoires disputés, notamment Jérusalem, pour les trois religions monothéistes, et du fait de la caractérisation d’Israël comme État juif, à majorité juive et face à des Palestiniens majoritairement musulmans.
Est-ce que la frontière entre Israéliens et palestiniens est hermétique?
Entre Israël et les territoires palestiniens, il n’existe pas de frontière interétatique reconnue. La multiplication des limites, dont la barrière de séparation toujours en construction, ne signifie pas que les sociétés israéliennes et palestiniennes sont devenues hermétiques.
Quels sont les accords de paix palestiniens?
Après des années d’attaques palestiniennes et d’assassinats sélectifs des forces de sécurité israéliennes, l’OLP et Israël signent en 1993 les accords de paix d’Oslo, dans lesquels l’organisation palestinienne renonce à la « violence et au terrorisme » et reconnaît le « droit ».
Pourquoi la multiplication des limites israéliennes et palestiniennes?
La multiplication des limites, dont la barrière de séparation toujours en construction, ne signifie pas que les sociétés israéliennes et palestiniennes sont devenues hermétiques. On trouve d’abord la « Ligne verte », tracée lors de l’armistice de 1949 entre Israël et ses voisins.
Quel est le plan de partage de la Palestine?
Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale approuve un plan de partage de la Palestine, qui recommande la création d’un État arabe indépendant et d’un État juif, ainsi qu’un régime spécial pour la ville de Jérusalem. Le plan est accepté par les Israéliens mais pas par les Arabes, qui y voient une perte de leur territoire.