Réponse Courte

Solutions simples

Pourquoi l’egalite des chances de reussite?

Pourquoi l’égalité des chances de réussite?

4 L’égalité des chances de réussite ne se contente pas de regarder en droit le caractère égalitaire ou non de l’école. Elle s’intéresse à la réalité sociale de l’égalité des chances. Pour cela, les résultats scolaires des élèves ne doivent pas dépendre d’un quelconque capital (culturel ou économique) hérité des parents et de la famille.

Que signifie l’égalité des chances?

L’égalité des chances suppose que le statut social des individus d’une génération ne dépende plus des caractéristiques ethniques, religieuses ou sociales des générations précédentes. L’inégalité des chances, au contraire, désigne une situation où l’origine sociale initiale des individus détermine leur future « place » au sein de la société.

Pourquoi l’égalité des chances est critiquable?

C’est pourquoi on peut les nommer respectivement égalité des chances d’accès et égalité des chances de réussite. 5 Même si l’idéal de l’égalité des chances est le principe de justice le plus ancien et le plus ancré dans l’école, il est critiquable sur trois aspects.

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Quelle est la troisième définition de l’égalité des acquis de base?

11 La troisième définition, l’égalité des acquis de base, transpose l’idée d’allocation universelle à la question des inégalités scolaires. Selon cette conception, une école juste est une école qui procure un niveau scolaire de base à tous les élèves.

Comment se décline l’égalité des chances d’accès?

D’ailleurs, il se décline de deux manières : l’égalité des chances d’accès et l’égalité des chances de réussite. 3 L’égalité des chances d’accès est plus ancienne (Coleman, 1967). Elle se centre sur la neutralité de l’école.

Est-ce que l’égalité des chances est divergente?

1 Cette divergence provient probablement du fait que les chances, au sens d’opportunités, ne sont – f (…) 6 Deuxièmement, l’expression consacrée d’égalité des chances confond deux définitions divergentes d’un même vocable : la chance (Bihr & Pfefferkorn, 2008, p. 19).