Réponse Courte

Solutions simples

Quel sont les maladie immunitaire?

Quel sont les maladie immunitaire?

Les maladies auto-immunes résultent d’un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s’attaquer aux constituants normaux de l’organisme. C’est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde.

Quelles sont les maladies immunodépressives?

Leucémie, lymphome, myélome multiple ou cancer non hématologique (immunodépression causée par la maladie, la chimiothérapie ou la radiothérapie). Agents immunodépresseurs (chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, agents biologiques [voir Thérapies immunodépressives]).

Comment distinguer les maladies auto-immunes d’organes?

On distingue classiquement les maladies auto-immunes spécifiques d’organes (par exemple les maladies auto-immunes de la peau, de la thyroïde, du poumon, du foie ou de l’intestin, telles que le diabète de type 1 ou la sclérose en plaque), et les maladies auto-immunes non spécifiques d’organes également appelées maladies auto-immunes systémiques,

Quand la maladie auto-immune survient?

La maladie auto-immune survient quand le système immunitaire se dérègle et se met à « attaquer » des cellules ou organes sains qu’il est censé normalement protéger. Pathologies multifactorielles, les maladies auto-immunes ne peuvent pas aujourd’hui être guéries, même si la prise en charge des symptômes s’améliore.

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Quels sont les principaux marqueurs des maladies auto-immunes?

Les autoanticorps sont les principaux marqueurs immunologiques des maladies auto-immunes. La présence d’auto anticorps ne témoigne pas forcément de l’existence d’une maladie auto-immune, puisque toute stimulation du système immunitaire (par exemple au cours des infections) peut conduire à la formation d’auto anticorps.

Pourquoi les maladies auto-immunes sont polygéniques?

Dans la majorité des cas, les maladies auto-immunes sont dites « polygéniques », car le terrain génétique favorisant ces maladies est déterminé par les polymorphismes de nombreux gènes ne conférant chacun qu’un sur-risque faible à modéré de développer la maladie.