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Comment répondre à quel type de difficulté Avez-vous du mal à gérer?
3- Quel type de difficulté avez-vous du mal à gérer? Comme vous n’êtes pas un robot, vous ne pouvez pas tout faire parfaitement. Au risque de se répétez : soyez sincère. Vous pourriez mentionner que vous avez plus de mal à aborder les situations qui mélangent les sentiments : la colère, la tristesse, etc.
Comment parler des difficultés?
Se projeter sur le fait de tirer profit de cette expérience et d’avoir réfléchi à toutes les solutions possibles en expliquant notamment comment vous auriez géré aujourd’hui la même situation. Définir le terme « échec » ou « difficulté » avec vos propres mots dans le contexte que vous venez d’illustrer.
Comment répondre à une question dangereuse?
Vous devriez avoir en tête quelques exemples pour y répondre. Dans votre réponse, il est important de mettre l’accent sur les leçons que vous avez tirées de cet échec ». Voici quelques astuces pour répondre avec brio à une question dangereuse et bien souvent inévitable : Rester évasif peut sembler tentant.
Est-ce que votre réponse n’aborde pas un sujet sensible?
« Assurez-vous également que votre réponse n’aborde pas un sujet sensible, comme par exemple la fois où vous n’avez pas respecté une échéance. Le respect des échéances est un critère clef de recrutement », expose-t-elle. Il est crucial de se tirer de cette question difficile, affirme Taylor.
Comment parler des erreurs qui n’ont jamais été source de valeur ajoutée?
Evitez de parler des erreurs qui n’ont jamais été source de valeur ajoutée, de celles dont vous n’avez pas tiré de leçon ou qui ouvriraient la boîte de Pandore. « Assurez-vous également que votre réponse n’aborde pas un sujet sensible, comme par exemple la fois où vous n’avez pas respecté une échéance.
Quel est l’objectif de cette question comportementale?
« Peu importe la tournure employée, l’objectif de cette question comportementale est toujours d’évaluer vos capacités d’autocritique, de reconnaissance des erreurs, de prise de risque et d’apprentissage après un échec », explique Taylor. « C’est une question récurrente en entretien. Vous devriez avoir en tête quelques exemples pour y répondre.