Pourquoi la France a capitulé en 1940?
La cause la plus fondamentale était l’infériorité démographique. Le problème démographique avait plusieurs aspects. Les pertes de la Première Guerre mondiale avaient compromis l’« élan vital » du pays. Elles n’avaient pas été tellement pires en France qu’en Allemagne, mais la population française avait une spécificité.
Qui dirige l’armée française en 1940?
Charles de Gaulle
C’est le chemin vers l’Occupation et le régime de Vichy. C’est ainsi que le sous-secrétaire d’État à la Guerre et à la Défense nationale, Charles de Gaulle, devient le chef de la France libre et appelle, le 18 juin 1940, les Français à continuer le combat. Cela fait 80 ans aujourd’hui.
Quel est l’état de l’armée française?
Placées sous le commandement des états-majors, les forces armées comprennent les quatre armées, l’Armée de terre, la marine nationale et l’armée de l’air, la Gendarmerie nationale, ainsi que les services de soutien et les organismes interarmées.
Quels sont les chars français de la Seconde Guerre mondiale?
Les Chars Français de la seconde guerre mondiale. Les blindés Français n’étaient pas inférieurs, car en nombre comme en qualité, ils dominaient leurs équivalents Allemands, moins bien protégé ou armés. Mais ils furent sacrifiés en vain du fait de tactiques surannées, et avaient leurs points faibles (chef de char débordé, visibilité médiocre,…
Quel est le début de la bataille de France?
Le 10 mai 1940 marque la fin de la Drôle de guerre et le début de la Bataille de France (ou Campagne de France ). L’Allemagne nazie passe à l’offensive en envahissant simultanément les Pays-bas, le Luxembourg, la Belgique et la France.
Combien de soldats français ont été tués durant la campagne de France?
Aujourd’hui, les dernières recherches montrent qu’environ 60 000 soldats français ont été tués entre mai et juin 1940. De son côté, l’armée allemande perd 30 \% de ses chars et avions pendant la campagne de France.
Quelle est la charnière de l’armée alliée?
Du côté allié, selon les plans de Gamelin, on répond à l’offensive ennemie en avançant en Belgique ; Sedan est la charnière entre les deux groupes principaux de l’armée alliée, française en particulier.