Réponse Courte

Solutions simples

Quand Eddie Adams Etait-il au Vietnam?

Quand Eddie Adams Était-il au Vietnam?

1er février 1968
L’image de cette exécution sommaire, prise par Eddie Adams le 1er février 1968 à Saigon, a marqué les esprits de l’époque. En pleine guerre du Vietnam, elle a suscité indignation et a galvanisé les mouvements pacifistes. Retour sur une icône.

Pourquoi et comment la perception de la guerre Est-elle transformée par l’offensive du Têt?

Dans la littérature officielle du régime, la décision de lancer le Têt est souvent présentée comme le résultat de l’échec américain à remporter la guerre rapidement, l’échec des bombardements contre le Nord Viêt Nam, et le sentiment anti-guerre qui s’exprimait dans la population américaine.

Quels sont les jours de l’offensive sur le Têt?

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Les jours précédents le Têt, les forces américaines et sud-vietnamiennes étaient en fait assez peu mobilisées malgré les différents signes annonciateurs de l’offensive. Officiellement le Nord avait annoncé en octobre une trêve de 7 jours entre le 27 janvier et le 3 février 68 pour les festivités.

Quelle est l’implication des Américains dans la guerre?

L’implication des USA dans la guerre (1964-1967) • L’incident du golfe de Tonkin (1964): un destroyer américain, en croisière d’espionnage dans la zone du golfe de Tonkin est attaqué par des vedettes nord vietnamiennes. Cet incident fournit au président Johnson le prétexte à un engagement militaire massif contre les Nord-Vietnamiens.

Est-ce que l’offensive du Têt était limitée aux zones rurales?

Précédemment les combats s’étaient limités aux zones rurales, l’offensive du Têt devait faire basculer les combats au sein des villes sud-vietnamiennes. L’offensive était basée sur 4 hypothèses : 4) Et un parallèle en termes de stratégie avec la situation française en 1953-1954 au moment de Dien Bien Phu.

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Comment se développe l’opposition à la guerre?

• Aux USA : l’opposition à la guerre se développe dans les milieux d’intellectuels libéraux, dans les universités, chez les Noirs aussi, qui y voient une guerre raciste ; développement du « syndrome vietnamien » : l’échec vietnamien engendre une volonté de non-intervention à l’extérieur pour éviter de retomber dans semblable situation.