Quelle est la définition des EPI?
Le Code du Travail (article R.233-83-3) donne d’ailleurs une définition des EPI : « Un équipement de protection individuelle (EPI) est un dispositif ou un moyen destiné à être porté ou être tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé ainsi que sa sécurité. ».
Quelle est la périodicité des EPI?
Comme tout équipement d’une entreprise, les EPI doivent être maintenus en état de fonctionner et vérifiés périodiquement. Par exemple, l’arrêté du 19 mars 1993 impose une périodicité de vérification obligatoire pour 5 types d’appareils de protection.
Qu’est-ce que le point du mari?
Ce n’est pas la première fois que des femmes dénoncent ce « point du mari » ; un geste clandestin qui consiste à recoudre une épisiotomie (incise faite lorsque l’enfant risque de déchirer le périnée de sa mère) par quelques points de suture supplémentaires, supposé accroître le plaisir de l’homme lors des rapports sexuels.
Quel est le taux moyen d’épisiotomie recommandé?
Appuyé par quelques syndicats de gynécologues, il obtient en 2005, à la suite d’une analyse approfondie de la littérature scientifique, que le taux moyen d’épisiotomie recommandé soit réduit à moins de 30 \%.
Quels sont les différents types de réassurance?
Les différents types de réassurance. Comme pour l’assurance, il existe plusieurs types de réassurance : – La réassurance vie ; – la réassurance non vie (ou réassurance de dommages). mots clés. assurance reassurance. assurance secondaire. capitaux reassurance.
Quelle est la réassurance de l’assurance?
Pour autant, la coassurance n’est pas le seul « secret de polichinelle » de l’assurance et quand il est question de plus gros risques ou de catastrophes, l’assurance sort la réassurance de sa botte secrète. La réassurance est un concept assez amusant car cela consiste pour une compagnie d’assurance à s’assurer.
Est-ce que le réassureur est lié à la réassurance?
L’assureur et le réassureur sont liés par un traité de réassurance. La réassurance étant un partage « vertical», et non « horizontal » (comme dans le cas de la coassurance) du risque, le souscripteur ne connaît pas le réassureur et n’a aucun lien juridique avec lui.