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Quelle est la place des femmes africaines en Afrique?
VOA Afrique se penche sur la place des femmes africaines dans les domaines de la politique, l’agriculture et l’éducation. Grâce aux rapports publiés par la Banque africaine de Développement (BAD), Inter-Parliamentary Union, la Banque mondiale, l’OCDE, les données dressent un portrait révélateur des femmes en Afrique.
Est-ce que les femmes africaines sont bien loin de la moyenne mondiale?
Et cela, malgré le fait que le taux d’activité des femmes africaines est supérieur à la moyenne mondiale. En effet, la plupart d’entre elles occupent des emplois peu rémunérés dans le secteur informel et n’ont ni les compétences ni les possibilités de progresser. Au-delà de ce sombre tableau, les bonnes nouvelles ne sont cependant pas bien loin.
Quelle est la densité de population de l’Afrique du Sud?
Carte de la densité de population de l’Afrique du Sud. L’Afrique du Sud compte environ 56 millions d’habitants en 2016. Majoritairement urbaine avec un taux de 64,8 \% en 2015, la population est inégalement répartie : la plupart des habitants résident à l’est du pays.
Quelle est la représentativité des femmes africaines en politique?
La représentativité des femmes africaines en politique a été de longue haleine. Du souffle, il leur en faut pour mener celui de l’effectivité de la parité dans les instances législatives plus particulièrement dans les parlements africains. Pourtant, certains pays du continent s’illustrent dans la féminisation de leur parlement.
Quel est le portrait des femmes en Afrique?
Grâce aux rapports publiés par la Banque africaine de Développement (BAD), Inter-Parliamentary Union, la Banque mondiale, l’OCDE, les données dressent un portrait révélateur des femmes en Afrique. En Afrique sub-saharienne, 22,3\% des parlementaires sont des femmes en 2015, contre 8\% en 1995.
Quels sont les résultats d’Afrique australe?
« Les pays d’Afrique australe obtiennent des résultats relativement bons en matière d’éducation des femmes et ont également une faible incidence de mariages d’enfants », explique les analystes de McKinsey. A contrario, « ce n’est pas le cas en Afrique de l’Ouest et centrale ».